Nous sommes en l’an 700. l’Afrique du nord romanisée est chrétienne. L’invasion arabe commence. Une reine berbère « La Kahina» organise la résistance d’abord victorieuse. Elle est finalement vaincue et tuée à Tabraka. Elle assiste mpuissante à la conquête arabe de l’Algérie et se réfugie d’abord à Volubilis ancienne ville romaine de la Maurétanie. La Maurétanie est envahie à son tour avec un groupe de berbères chrétiens et juifs, elle gagne l’Espagne pour prévenir le roi Wisigoth, Rodéric de l’imminence de l’invasion.
Si la trame est romanesque, le récit est fidèle à histoire et la description en particulier de la Maurétanie de Césarée et de Volubilis dont l’auteur a étudié les vestiges.
Ce roman retrace, fidèlement à l’Histoire, la septième et la huitième croisade, vue à travers les yeux de personnages de fiction.
A cette fin, l’Auteur s’est inspiré des mémoires du sire de Joinville dont il a contrebalancé les faits par le travail d’autres chroniqueurs.
Du bûcher de Monségur à la persécution des templiers en passant par les Vêpres siciliennes, ce roman embrasse beaucoup d’événements à une époque où la vie humaine était courte. Joinville les a connus et est mort bien après ceux-ci, à la veille de la guerre de Cent ans.
Corinne fait ses études au couvent du Sacré-Cœur en même temps qu’Eugénie de Montijo, future impératrice. Elle tombe amoureuse de son professeur de latin, Ravière, un prêtre basque sensible aux idées modernes. Celui-ci se défroque et devient révolutionnaire. Cédant à la pression de ses parents et d’Eugénie devenue impératrice, Corinne épouse le comte de Malifaux, banquier, récemment ennobli par Louis-Philippe, mais elle rêve toujours à Ravière. Celui-ci est arrêté après le coup d’État de Napoléon III et déporté en Algérie. Elle profite du voyage impérial en Algérie pour lui rendre visite et obtenir de son cousin Ferdinand de Lesseps qu’il l’affecte aux travaux du canal de Suez. Sans oublier Ravière, elle a une aventure avec le duc de Gramont-Caderousse, grand séducteur de la cour et qui lui révèle les plaisirs de l’amour et sa propre sensualité. En mille huit cent soixante-dix, elle est faite prisonnière par les communards et délivrée par Ravière qui fait partie des insurgés. À la mort de son mari, elle assume la direction de la banque. Thiers reprend Paris et Ravière est déporté à Cayenne. Elle le rejoint en passant par Rio, où l’empereur Pedro II lui fait la cour. Mais à Cayenne elle sent que son amour pour le forçat s’étiole et que c’est Caderousse qui lui a vraiment appris l’amour et le plaisir. En partant de Rio, elle croise le bateau de Caderousse qui ne voit pas ses signaux. À Paris elle reprend la direction de sa banque, mais son remplaçant s’est fourvoyé dans le financement du canal de Panama. Ravière, revenu en France, meurt à côté de Jaurès dans un attentat. Corinne est ruinée. Tous ses biens sont vendus, mais rachetés par une même personne : Caderousse, qui ne Ta jamais oubliée et vit en ermitage, ignoré de tous, dans le Sahara. Après la Première Guerre mondiale elle rencontre dans le jardin des Tuileries son amie Tex-impératrice Eugénie et le duc de Gramont. Mais les fastes de l’empire et la saison des amours appartiennent au passé.
Yann de Montrozal et Marie Gomes, ont joué ensemble à l’âge des amours enfantines. Plus tard Yann retrouve Marie sur les bancs de la faculté sans d’abord la reconnaître. Marie est devenue Myriam, juive, Israélienne. La mère de Yann est très fière de ses ancêtres qui ont joué un rôle sous la monarchie. Yann est amoureux de Myriam avec qui il a un enfant mais tout les oppose, leurs naissances, leurs croyances, leurs appartenances politiques. Myriam regagne Israël avec son fils. Tous deux se retrouvent pendant la guerre des sept jours, en Algérie, en France lors d’une élection présidentielle, mais chaque fois dans des camps différents. Pendant ce temps une lutte sourde oppose Myriam et Madame de Montrozal au sujet de l’éducation d’Ariel l’enfant du couple.Yann de Montrozal et Marie Gomes, ont joué ensemble à l’âge des amours enfantines. Plus tard Yann retrouve Marie sur les bancs de la faculté sans d’abord la reconnaître. Marie est devenue Myriam, juive, Israélienne. La mère de Yann est très fière de ses ancêtres qui ont joué un rôle sous la monarchie. Yann est amoureux de Myriam avec qui il a un enfant mais tout les oppose, leurs naissances, leurs croyances, leurs appartenances politiques. Myriam regagne Israël avec son fils. Tous deux se retrouvent pendant la guerre des sept jours, en Algérie, en France lors d’une élection présidentielle, mais chaque fois dans des camps différents. Pendant ce temps une lutte sourde oppose Myriam et Madame de Montrozal au sujet de l’éducation d’Ariel l’enfant du couple.
A la fin du vingt et unième siècle le prince d’un émirat qui pourrait se situer dans le golfe persique, décide d’élever dans le désert la tour la plus haute de la planète et charge de l’opération un jeune architecte égyptien. A la même époque, la Chine à qui l’Australie refuse de baisser le prix du fer, l’envahit Le conflit s’étend rapidement à l’Asie, puis à l’Europe, enfin à l’Amérique. Envahis par des armées chinoises innombrables. Pendant ce temps la tour isolée dans le désert s’élève lentement. La Chine envoi une expédition sur la planète Mars dont les astronautes reviennent couverts de gloire.
Un général chinois qui envahit la France dont il apprécie la culture et la cuisine refuse de détruire Paris. Pour lui éviter la cour martiale, son neveu qui a fait partie de l’expédition marsienne le persuade de repartir avec un petit groupe d’astronautes, hommes et femmes Les belligérants se détruisent entre eux jusqu’au dernier.il ne reste plus comme humains que les habitants de la tour que tout le monde a oublié et un petit groupe d’astronautes sur Mars.
Yann et Linda travaillent à l’institut Pasteur et vivent avec leur nièce Chloris. Peu intéressés par la bactériologie, ils songent surtout avec des cellules souches immortelles à créer un être qui ne connaîtra pas le vieillissement à partir d’une photocopieuse numérique.
Seth l’être crée qui ressemble comme un jumeau à Yann, leur échappe et s’enfuit en Afrique avec Chloris qui croit partir avec Yann.
Peter Botha le dernier premier ministre de l’apartheid, avait fait réaliser des bombes atomiques qui auraient été détruites pour plaire aux Américains. Une rumeur raconte qu’en réalité elles seraient cachées dans un des deux royaumes noirs d’Afrique du Sud. Seth toujours avec Chloris serait à leur recherche.
Yann, aidé du fils du fabricant israélien des bombes, part à leur poursuite afin de les neutraliser et traverse le Mozambique, le Zimbabwe et l’Angola.
En Namibie, ancienne colonie allemande, dans une réserve qui sert de refuge et de lieu de transit à d’anciens nazis, ils retrouvent Chloris. Sa recherche continue…
L’histoire se déroule à la fin du dix septième siècle. C’est celle de deux couples. Le premier, elle Huguenote, nièce de Sully, lui officier catholique, leur aventure va des dragonnades au pensionnat de jeunes files de Saint Cyr, d’où la jeune huguenote s’enfuit vers la Hollande, puis en Afrique du Sud, aidée par l’officier qui doit se refugier en Angola portugaise. Ils se retrouvent mais sont séparés à nouveau par des trafiquants d’esclaves. L’autre couple, faussement accusé d’un crime, se réfugie en Louisiane, puis en Virginie, enfin en Floride espagnole où la jeune femme convaincue de sorcellerie est condamnée à être brûlée. Son amant, la croyant morte, pour se venger se livre à la piraterie et à la traite des esclaves. Le hasard réunit les deux couples et met un terme heureux à leurs pérégrinations Si le récit doit beaucoup à l’imagination de l’auteur, celui-ci apparenté à la famille des Sully, aujourd’hui éteinte, s’est aussi nourri de quelques récits, recueillis par sa mère au château de Sully, Marie Armande , l’héroïne du livre a réellement existé.
Dans les dernières années de l’algerie française, une intrigue amoureuse entre une pharmacienne et son jeune préparateur suscite l’hostilité de la société arabe. Cette intrigue se déroule sur fond de révolte sanglante et de répression aveugle.
L’auteur a cherché ce qu’étaient devenus ces nationalistes basques avec qui, dans l’effervescence de l’adolescence, il avait refait le monde des centaines de fois. Trois d’entre eux l’avaient particulièrement marqué et, bien qu’il ne les ait pas revus, à partir de certains fait réels, il a imaginé la suite de leurs aventures qui les ont opposés souvent violemment ou au contraire amenés dans l’église sur les traces d’Ignace de Loyola. Une incursion dans le passé lui a permis de relier la lutte actuelle aux guerres carlistes dont le souvenir reste vif à Bayonne.
Yves de Mellis est né à Bayonne où il a fait une partie de sa scolarité. Il y a fréquenté les milieux nationalistes basques qui, dans les années de l’après guerre, étaient en peine ébullition, ce qui lui a valu d’être renvoyé du lycée. Pour lire la suite de la biographie .
José, Eneko, Juanita et Yann font leurs études dans le Pays basque Nord à la fin de la guerre civile et à la veille de la deuxième guerre mondiale. Après celle-ci, José devient un des dirigeants du GAL et des guérilleros du Christ roi. Juanita, une des dirigeantes de l’ETA. Eneko se fait prêtre et fonde une coopérative qui devient un empire économique. Yann, chirurgien à Bayonne et amoureux de Juanita est entraîné dans les conflits du Pays basque et en particulier de ses trois anciens amis. Un retour en arrière évoque les guerres carlistes qui préfigurent le conflit actuel.